domingo, 29 de janeiro de 2012

Pas pressé. Um moment ou un autre, mon chér, tu vas me chercher, et il sera donc en quelque sorte, sans mes artifices pour te trouver. Je veux que tu saches que Je n’irai t’atendre plus comme quelqu’um qui attend resignée à l’arrêt de bus le dimanche à midi. Une heure tu viendra sans peur e sans fioritures, et une nuit sera peu pour apprécier tout que tu me dois: une vie de rêves impossibles et de lieux inimaginables. Et quand tu viennes... Je me coucherai mon têtê sur tes genoux... sans hésitation, sans hâte, sans peur... et Je vais dormir... dormir...

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